Dans les médias

1 octobre 2011

L’Arctique en transition

Le Devoir - En Arctique, l'année de tous les records est sans contredit 2011. Le retrait de la calotte polaire est sans précédent. L'étendue de la banquise en septembre ne représente que la moitié de la couverture observée il y a trente ans. Les États arctiques sont désormais confrontés à des mutations climatiques qu'ils ne peuvent plus ignorer tandis que les acteurs présents dans cette partie du monde sont de plus en plus nombreux et actifs.
1 décembre 2010

COP24 : comment le monde compte passer de la parole aux actes

La Presse+ - Parvenir à l'accord de Paris a été un défi. Le mettre en oeuvre en sera un autre. Et de taille. C'est ce que les signataires devront parvenir à faire à la Conférence de Katowice sur le changement climatique, ou COP24, qui s'amorce demain, en Pologne.
28 août 2010

L’Arctique de Stephen Harper

Le Devoir - Depuis cinq ans maintenant, Stephen Harper se rend dans le Grand Nord du pays afin de renforcer le sentiment d'appartenance des Canadiens à l'égard de l'Arctique. Si cette courte visite annuelle permet d'attirer l'attention sur l'immensité du territoire nordique et d'aborder (souvent par l'entremise des médias) certains enjeux pressants des Canadiens du Nord (santé, logement, éducation, emplois, infrastructures), il n'en reste pas moins que l'Arctique de Stephen Harper est surtout fondé sur une rhétorique de la peur.
27 mars 2009

Pour une commission canado-américaine de l’Arctique

Le Devoir - La nouvelle politique canadienne de l'Arctique, présentée le 11 mars par le ministre des Affaires étrangères, Lawrence Cannon, marque un changement de discours pour le Canada. En affirmant son intention de coopérer davantage avec ses voisins arctiques — notamment les États-Unis et la Russie —, le gouvernement de Stephen Harper semble reconnaître les insuffisances d'une stratégie canadienne unilatérale dans le Grand Nord.
29 octobre 2008

Les démocrates à l’assaut de la dernière frontière

Le Devoir - C'est le dernier État qui s'est joint à l'Union, en 1959, la réserve énergétique des États-Unis avec environ 20 % de la production nationale. Son flanc septentrional. Et un bastion républicain qui a toujours voté rouge, sauf en 1964. Depuis la découverte du plus grand gisement pétrolier des États-Unis à Prudhoe Bay en 1968 (80 % des revenus de l'État proviennent des hydrocarbures aujourd'hui), il souffle, sur cet État qu'on appelle «la dernière frontière», un vent d'opulence puisque la ruée vers l'or noir a métamorphosé sa situation économique. Et cet automne, il y règne une effervescence politique inédite.
14 avril 2007

Le regain d’intérêt américain en Arctique: alarmant ou nécessaire?

Le Devoir - Raoul-Dandurand à l'Université du Québec à Montréal. Il participera au colloque international «Les États-Unis, les changements climatiques et l'Arctique. Regain d'intérêt américain dans une région en mutation», qui se tiendra les jeudi 19 et vendredi 20 avril au Centre des sciences de Montréal.
26 septembre 2006

Que le Canada ne sombre pas dans la dérive paranoïaque

Avec leurs 12 000 kilomètres de frontières terrestres, les États-Unis ont tout le loisir d’entretenir une paranoïa transfrontalière qui vient de trouver son aboutissement dans le contrat accordé à Boeing pour développer une frontière "virtuelle" avec le Mexique et éventuellement le Canada. Il y a, derrière ce projet ambitieux, une kyrielle d’intérêts électoraux et une forme de paranoïa sécuritaire qui ne doit pas aspirer le Canada : la frontière virtuelle est essentiellement destinée à pallier le problème des immigrants clandestins qui franchissent la frontière mexicaine et les mesures de sécurité n’auront pas la même ampleur au nord qu’au sud.
12 septembre 2006

Les relations entre les États-Unis et le Canada : mêmes débats, nouveau contexte

Le Devoir - Dès l'élection de George W. Bush en 2000, la relation entre les États-Unis et le Canada semble débuter sur le mauvais pied lorsque l'ambassadeur américain au Mexique est nommé avant même celui devant être désigné à Ottawa, brisant ainsi une longue tradition diplomatique. La même amertume se manifeste lorsque, à la suite des événements du 11-Septembre, seule la Grande-Bretagne est remerciée dans le discours du président américain devant le Congrès.