Ici Première - entrevue réalisée avec Joël Le Bigot - « C'est une occasion de dire leur mécontentement, et de dire qu'il faut aller plus loin. » Selon Annie Chaloux, spécialiste en politique environnementale, l'événement qui a réuni 500 000 personnes dans les rues de Montréal, hier, et qui a eu des échos dans 35 autres villes québécoises, devrait être perçu comme un signal d'alarme par les politiciens. La professeure à l'École de politique appliquée de l'Université de Sherbrooke explique à Joël Le Bigot qu'il y aura désormais, selon elle, davantage de pression sur les dirigeants.