Depuis quelques années, une partie de la pensée dominante au sujet des défis de la « gouvernance contemporaine », thème du présent Congrès, a réussi à imposer un discours qui soutient qu’une importante intervention de l’État dans l’économie et le social, qu’une fiscalité très imposante ou encore que des taux de syndicalisation élevés ne peuvent que nuire à la croissance économique et à la prospérité d’un pays.