Le Devoir – Si les politiciens du Québec n’ont pas tous été explicites pour leur préférence dans la présidentielle française, un quasi-consensus se dégage : Emmanuel Macron est favori et Marine Le Pen, infréquentable. Mais en cas de victoire — fort probable — du favori québécois, la classe politique de la rive gauche de l’Atlantique devra bâtir des ponts avec celui pour qui le Québec est une terra incognita.