Le Devoir – entrevue menée avec Alexandre Shields
« Si on disait oui aujourd’hui au projet GNL Québec, il ne verrait pas le jour avant 2025. Mais à ce moment, la crise en Ukraine sera passée, alors que la crise climatique sera toujours là », affirme pour sa part Annie Chaloux, professeure à l’École de politique appliquée de l’Université de Sherbrooke.