Dans le coin droit, le shérif. Dans le coin gauche, les pacifistes. Le débat des chefs sur la politique étrangère, lundi soir, a permis de mettre en lumière les visions opposées — du moins, en apparence — de Stephen Harper et de ses deux principaux adversaires.
Le chef conservateur a cherché à donner l’impression qu’il est le seul à se battre contre les méchants en Syrie, à protéger les Canadiens contre la « menace » terroriste au Canada et à placer l’économie en tête de ses priorités.